A 2 jours du début de la compétition, Fwanky, dit patwon, notre préparateur physique, nous avait réservé une journée de repos. Nous en avons donc profité pour visiter l’île de WAIHEKE qui se situe à l’est d’Auckland, à 30 minutes en ferry. Mon père qui m’a rejoint en Nouvelle-Zélande mercredi s’est joint à nous, et nous avons passé une agréable et dépaysante journée. Après être partis en retard et s’être trompés de port de ferry, nous avons tout de même réussi à prendre la navette, un jet ma foi très rapide, qui nous dépose à MATIATIA, le débarcadère de l’île. Du haut des collines, plusieurs villas somptueuses dominent la baie.
Nous prenons le bus pour ONETANGI Beach, à 10 km de là, une très longue plage réputée pour le surf. Mais pour le coup, les vagues ne dépassaient pas 50 cm. Avant de se baigner, on s’est promené dans la forêt non loin, une réserve naturelle pour faune et flore. Pour la faune, on n’a rien vu par contre on a entendu, et pour la flore, c’était carrément la jungle. Il était l’heure de manger et nous avons déjeuné dans le bar faisant face à la plage qui proposait des tarifs honnêtes, compte tenu de sa situation. Puis direction une autre plage, ONEROA Beach, située dans une baie plus encaissée et offrant des vagues allant « jusqu’à 1 mètre !!! » (selon Mamoot). Un peu de shopping avant de reprendre le bus et retour par la navette.
A 2 jours du début de la compétition, Fwanky, dit patwon, notre préparateur physique, nous avait réservé une journée de repos. Nous en avons donc profité pour visiter l’île de WAIHEKE qui se situe à l’est d’Auckland, à 30 minutes en ferry. Mon père qui m’a rejoint en Nouvelle-Zélande mercredi s’est joint à nous, et nous avons passé une agréable et dépaysante journée. Après être partis en retard et s’être trompés de port de ferry, nous avons tout de même réussi à prendre la navette, un jet ma foi très rapide, qui nous dépose à MATIATIA, le débarcadère de l’île. Du haut des collines, plusieurs villas somptueuses dominent la baie. 
Nous prenons le bus pour ONETANGI Beach, à 10 km de là, une très longue plage réputée pour le surf. Mais pour le coup, les vagues ne dépassaient pas 50 cm. Avant de se baigner, on s’est promené dans la forêt non loin, une réserve naturelle pour faune et flore. Pour la faune, on n’a rien vu par contre on a entendu, et pour la flore, c’était carrément la jungle. Il était l’heure de manger et nous avons déjeuné dans le bar faisant face à la plage qui proposait des tarifs honnêtes, compte tenu de sa situation. Puis direction une autre plage, ONEROA Beach, située dans une baie plus encaissée et offrant des vagues allant « jusqu’à 1 mètre !!! » (selon Mamoot). Un peu de shopping avant de reprendre le bus et retour par la navette.
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